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Foot - Derby madrilène : humiliation et critiques incendiaires pour Alonso

by admin on | 2025-09-28 22:02:12

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Le Real Madrid a vécu une lourde humiliation en s’inclinant 5-2 face à l’Atlético au Metropolitano, une première secousse pour Xabi Alonso. Jusque-là invaincu, le coach subit un torrent de critiques, accusé de mauvais choix tactiques et de gestion douteuse. Arda Güler sorti prématurément, Jude Bellingham aligné diminué, Franco Mastantuono écarté, autant de décisions mal perçues. La presse espagnole l’accuse d’avoir échoué dans son premier vrai test de la saison.

Un derby cauchemardesque pour le Real Madrid

La rencontre entre l’Atlético et le Real Madrid a tourné à la démonstration. Les Colchoneros ont infligé un cinglant 5-2 aux hommes de Xabi Alonso, brisant leur série parfaite de six victoires toutes compétitions confondues. Au Metropolitano, le technicien basque a vu son équipe submergée et incapable de répondre au défi proposé par le collectif du Cholo Simeone.

Des choix de composition vivement contestés

La gestion de certains cadres fait polémique. L’absence de Franco Mastantuono, pourtant performant récemment, l’alignement d’un Jude Bellingham diminué physiquement et la sortie rapide d’Arda Güler alors qu’il se montrait à son avantage, sont autant de décisions qui ont suscité l’incompréhension des supporters et des observateurs madrilènes.

Une presse madrilène particulièrement sévère

Les quotidiens sportifs n’ont pas épargné l’entraîneur. Pour Marca, il a manqué à ses principes de méritocratie en privilégiant le statut au rendement. AS évoque un "naufrage tactique", soulignant que Simeone l’a "ridiculisé". Enfin, la Cadena SER va plus loin en parlant d’"humiliation" et en désignant Alonso comme la principale victime du derby.

Une pression immédiate pour la suite

Ce revers majuscule change le climat autour du vestiaire madrilène. L’ancien milieu de terrain sait qu’il sera attendu au tournant, dès le prochain rendez-vous en Ligue des Champions face au Kairat Almaty, puis en Liga contre Villarreal. Après ce premier gros échec, le droit à l’erreur s’amenuise déjà.